lundi 19 avril 2010

Gardons un ton délibérément léger, mais c’est une cause lourde !

Nathalie et Hélène ont raison : ces anévrismes, qui se rompent, sont des fléaux ! Il faudrait effectuer une campagne de prévention, car ils frappent sans distinction d’âge ! Ils ne sont pas sexistes, ni racistes, non plus ! Quant à la catégorie sociale, elle a peu d’importance, c’est l’égalité des droits humains, ici ! Tout le monde a ses chances !

Post traumatiques, ils sont plus facilement détectables, car ils ont, au moins, la politesse de prévenir : maux de tête, le plus souvent. Mais, même dans ces cas là, cela reste aléatoire !

Il y a des gens à risques, les sportifs, les accidentés, ceux dont un membre de la famille en a été atteint. Et puis, il peut y avoir des signes précurseurs, dans certains cas, maux de tête, troubles, passagers, du langage, de l’équilibre. Mais, généralement, ce squatter de nos artères ne prévient pas et s’invite sans en être prié ! De manière imagée, très succincte, c’est un peu comme une hernie, sur une chambre à air de vélo, avant la crevaison. Cela peut rester en l’état pendant des heures, des semaines, des mois, voire des années, puis, un jour, sans raison plus particulière qu’une autre, du moins en apparence : paf, cela "pète" !

Résultats possibles, différents cas de figure :
A) - mort instantanée,
B) - coma, puis décès, dans un laps de temps plus ou moins long,
C) - vous restez en vie, mais quasiment à l’état de légume,
D) - vous retrouvez un semblant de vie, avec des séquelles importantes, handicapantes
E) - vos séquelles sont maîtrisables et vous reprenez un cours de vie, relativement, normal. Vous êtes né(e) sous une bonne étoile !

Marie.

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